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Un Fou Noir au Pays des Blanc

 

 

Vendredi 12 aôut - 17h

de et par : Pie Tshibanda

Production : Creadiffusion

 

Seul en scène, tout public

Un témoignage autobiographique drôle et féroce sur un sujet bouleversant : son exil forcé depuis l’Afrique vers la Belgique.

Ce spectacle relate non seulement son incroyable voyage, mais aussi les difficultés qu’il a pu traverser en arrivant en Europe. Humaines et nuancées, les paroles de Pie Tshibanda nous touchent au plus profond de nous-même. Elles mettent en évidence, avec un humour acerbe et une intelligence raffinée, le regard que nous portons parfois sur ceux que nous ne connaissons pas, la méfiance que nous inspire la différence.
Ce spectacle est une médication douce à prescrire contre l’intolérance et l’étroitesse d’esprit.

Pie Tshibanda est né en 1951 dans la région du Katanga en République Démocratique du Congo. En 1995, une épuration éthnique éclate. Psychologue, écrivain, auteur d’une dizaine de livres, Pie Tshibanda estime alors devoir dénoncer les massacres dont il est le témoin. Il devient rapidement un « témoin gênant », et n’a finalement d’autre choix que de quitter son pays.
Dès son arrivée en Europe, on le tutoie, on le fouille, on met en doute ses diplômes… Il comprend à cet instant, qu’en franchissant la frontière belge, il n’est plus l’intellectuel estimé qu’il était auparavant. Il est désormais « un étranger » qui va devoir trouver sa place et faire ses preuves.

Pie Tshibanda livre ici un message de tolérance d'une subtile intelligence. A écouter. A partager.

Michèle Bourcet dans Télérama

 

Le bon sens, la lucidité et la tempérance ne l'ont jamais quitté...un regard perçant sur le présent et ses contradictions: voilà ce qu'est Pie, rien de plus. Mais, c'est déjà beaucoup.

Le Journal du Dimanche

On rit beaucoup durant ce spectacle qui nous dévoile nos appréhensions, nos hésitations, nos préjugés. Au rire s’ajoute l’émotion de voir ce frère noir construire à coups de tendresse et de malice sa petite place d’homme dans les sociétés des blancs.

Le Figaro

(...) si Socrate était noir, il s'appellerait Pie Tshibanda.

Le Soir

C’est souvent drôle, fort, très éclairant.

Le Canard Enchainé

Le public, blanc et noir, rit de se voir si justement croqué en son miroir.

Le Monde

…le bon sens, la lucidité et la tempérance ne l’ont pas quitté… un regard perçant sur le présent et ses contradictions : voilà ce qu’est Pie, rien de plus. mais c’est déjà beaucoup. »

La Libre Belgique

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